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 accouchement sans douleur à la péridurale

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peggy
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peggy


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MessageSujet: accouchement sans douleur à la péridurale   accouchement sans douleur à la péridurale Icon_minitimeLun 15 Jan - 22:51

Certaines futures mamans préfèrent vivre pleinement leur accouchement et ne pas bénéficier de la péridurale. D’autres n’envisagent pas une seconde d’accoucher comme leur mère et leur grand-mère… Ce choix vous appartient. .

Quelle douleur pour l’accouchement ?
Une des peurs principales lors de l’accouchement, c’est la douleur. Car de nombreuses rumeurs et contrevérités circulent sur le ressenti associé à la naissance. Rares sont celles qui refusent d’ailleurs la péridurale. Des méthodes d’accouchement sans douleur aux médicaments, tout ce qu’il faut savoir.


* La douleur et les médicaments lors de l'accouchement

La douleur lors d'un accouchement est très variable d'une femme à l'autre. Au-delà de la préparation qui vous aidera à respirer, vous relaxer, vous mettre en confiance, l'équipe médicale dispose également de moyens médicamenteux qui permettent à celles qui le souhaitent d'accoucher sans douleur.

L'analgésie péridurale

L'analgésie péridurale (extradurale ou extra-rachidienne) est très efficace. Le médecin commence par une anesthésie locale de la région du dos où sera enfoncé le trocard. Ensuite, il introduit l'aiguille entre la 4ème et la 5ème vertèbre lombaire, dans la partie basse de la colonne vertébrale. Un cathéter (fin tuyau) est ensuite passé à travers le trocard qui est alors retiré. Le cathéter reste en place et servira tout au long de l'accouchement. Les drogues injectées (bupivacaïne) imprègnent les racines nerveuses à leur sortie de la moelle épinière mais ne touchent pas cette dernière. En effet, la dure-mère n'est pas traversée.

La perte de la sensibilité à lieu dans l'ordre suivant : perte de la sensibilité thermique, puis douloureuse puis tactile et enfin complète. La récupération de la sensibilité en fin d'anesthésie se fait dans l'ordre inverse. Les douleurs ne sont plus ressenties mais la conscience reste intacte. La femme peut donc en toute lucidité exercer les poussées nécessaires à la naissance de son enfant.

Cette anesthésie peut également être utilisée lors des césariennes dont elle diminue les risques.

En 1998, 62,6 % des accouchements se sont déroulés sous péridurale. Les contre-indications sont rares : allergie aux produits anesthésiques, déformations prononcées de la colonne vertébrale, fièvre, troubles de la coagulation. Remboursée totalement sur la base d'un tarif conventionnel, la péridurale peut donner lieu dans certains établissements privés à des suppléments non remboursables.


Les analgésiques
Ce sont des produits qui luttent contre la douleur. Les dérivés de l'opium, dont la morphine, sont peu utilisés actuellement. Les antispasmodiques sont d'usage plus courant. Leur efficacité est réelle. Ils sont inoffensifs pour le foetus. Loin d'arrêter le travail, ils en favorisent la progression et la régularité tout en atténuant les douleurs.

Dans les accouchements bien surveillés, on leur associe toujours l'ouverture artificielle des membranes et l'utilisation des ocytociques en perfusion qui régularisent la contraction utérine.

Les anesthésies générales
Depuis l'anesthésie "à la reine" au chloroforme, d'autres méthodes d'anesthésie ont vu le jour. Les gaz (trichloréthylène, protoxyde d'azote mélangé à l'air ou à l'oxygène, le cyclopropane) ou les anesthésiques non volatils introduits par voie veineuse (penthotal) ont chacun eu leurs heures de gloire et l'anesthésie générale au cours de l'accouchement était devenu il y a quelques années un procédé de routine notamment aux Usa.

Elle a des inconvénients. Les dangers sont d'autant plus grands que l'anesthésie dure plus longtemps et qu'elle est plus profonde. Les risques sont plus importants si l'accouchement est prématuré, ou si le foetus présente des signes de souffrance. Par l'assoupissement de la conscience qu'elle provoque, elle entrave l'effort de la période d'expulsion. La femme endormie pousse mal et l'application des forceps est souvent nécessaire.

L'anesthésie générale nécessite une surveillance continue. Elle ne peut être entreprise qu'à une période avancée du travail.


La péridurale
l s’agit du procédé le plus efficace pour arrêter les douleurs de l’accouchement. Quand le travail est en route et que la dilatation du col est suffisante (2/3 cm), le médecin anesthésiste vous place, grâce à une aiguille longue et fine, un petit cathéter dans le dos qui permettra d’acheminer le produit anesthésique jusqu’aux racines nerveuses.

Vous continuerez à ressentir les contractions mais sans la douleur qui les accompagne.

Cette anesthésie facilitera le travail de l’obstétricien en cas de césarienne ou de forceps.

Le nombre de péridurales est variable d’une maternité à l’autre notamment la nuit. Renseignez- vous auprès de votre médecin. La consultation avec le médecin anesthésiste est indispensable.

Les anesthésies
Si vous n’avez pas de péridurale, le médecin pourra vous soulager ( jamais complètement ) par des dérivés de la morphine passés en perfusion lente. Ce procédé atténue beaucoup les douleurs.

Au moment du passage du bébé, le médecin pourra faire une anesthésie locale "profonde" de la région fessière. L’anesthésie locale de la zone d’épisiotomie est facile à effectuer et peut rendre des services.

Il arrive parfois de devoir faire une anesthésie générale au dernier moment pour une césarienne en extrême urgence, un forceps ou une révision utérine. Cette éventualité est assez peu fréquente aujourd’hui.

L’acupuncture
L’acupuncture peut également aider à soulager les douleurs. Il s’agit d’équilibrer le Yin et le Yang, source de douleurs selon la médecine traditionnelle chinoise. Elle n’est pas pratiquée dans tous les centres. Renseignez-vous auprès de l’équipe.

La préférence pour l’une ou l’autre de ces méthodes est une question personnelle. Renseignez-vous, n’hésitez pas à poser de nombreuses questions à votre médecin et à vos amies.
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peggy
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MessageSujet: Re: accouchement sans douleur à la péridurale   accouchement sans douleur à la péridurale Icon_minitimeLun 15 Jan - 23:09

un peu plus d'explication sur la peridurale

Mettre fin à la terrible malédiction de la Genèse "tu enfanteras dans la douleur", tel est ce que permet aujourd’hui l’analgésie péridurale. Au-delà de la notion de confort, on perçoit aujourd’hui la nécessité de lutter contre la douleur maternelle mais également foetale. La pratique de cet acte médical est aujourd’hui courante (en 1998, 62,6 % des accouchements se sont déroulés sous péridurale), cependant comme tout acte médical il comprend des avantages et des risques.

Un acte médical


Le but de cet acte est la suppression ou la diminution des douleurs de l’accouchement. Dans certains cas, il peut également en faciliter le déroulement. La suppression des douleurs permet un confort moral et une diminution de la fatigue maternelle.

Réalisé par un médecin anesthésiste-réanimateur, ce geste médical a pour but de bloquer les transmissions des influx douloureux issus des racines nerveuses, qui résultent de la contraction de l’utérus et de la progression de l’enfant.

Image hébergée par servimg.com


La technique consiste à introduire de manière stérile un cathéter dans l’espace péridural. Il faut tout d’abord repérer l’espace intervertébral approprié. Pour cela, le médecin demande à la patiente de lui présenter son dos, couchée sur le côté ou assise. Après une désinfection soigneuse et une anesthésie locale de la peau et du derme de l’endroit repéré, le praticien guide une aiguille entre deux vertèbres. Il est ainsi très important que la patiente reste immobile pendant que le praticien guide manuellement l’aiguille. Parvenu à l’espace péridural, le cathéter est introduit dans l’aiguille. Des sensations électriques peuvent accompagner cet acte, mais elles ne persistent généralement pas. Ensuite, le médecin retire l’aiguille, tout en maintenant le cathéter en place. Sous contrôle de la tension artérielle et du rythme cardiaque, le produit anesthésique local est injecté via le cathéter. Son action intervient généralement dans les 10 à 15 minutes.
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La durée totale de la procédure dépend du tour de main du praticien, de la coopération de la patiente et dans certains cas, de facteurs anatomiques (scoliose, obésité…).


Quand utiliser la péridurale ?
L’utilisation de la péridurale permet une réduction de la fatigue maternelle, un meilleur contrôle des fonctions vitales et une récupération plus rapide après l’accouchement. Contrairement à d’autres pratiques anesthésiques, elle n’entame pas la lucidité de la mère, diminue les contractions et permet un meilleur relâchement de l’utérus entre celles-ci.

Elle est désormais considérée comme un dû à toutes les femmes qui jugent la douleur intolérable. Une consultation avec le médecin anesthésiste dans les semaines précédant l’accouchement avec une prise de sang doit être impérativement effectuée, afin de s’assurer que les conditions de santé de la patiente n’empêcheront pas le recours à la péridurale.

La sécurité sociale prend désormais en charge cet acte médical à hauteur de 540 Francs, mais attention : les dépassements d’honoraire sont fréquents dans certaines cliniques et la " douloureuse " peut parfois atteindre 1500 à 2500 Francs, à la charge du patient dans certaines cliniques.

La péridurale est particulièrement indiquée dans les cas de grossesse difficiles. Ainsi, lors de présentations particulières (présentation postérieure), qui peuvent entraîner des douleurs importantes. Si elles se prolongent, ces douleurs peuvent entraîner une consommation excessive d’oxygène due au stress, ce qui entraîne une raréfaction de l’oxygène pour le foetus.

En cas d’hypertension ou de certaines maladies cardiaques, ou encore d’épilepsie, la péridurale permet par une suppression efficace de la douleur d’éviter les variations de tensions ou la survenue de crise pendant l’accouchement.

De plus, si la douleur excessive tend à durer, une césarienne peut s’avérer nécessaire. Dans ce cas, la péridurale peut être employée comme moyen d’anesthésie. Elle présente l’avantage d’être moins brutale que des analgésiques intraveineux, qui peuvent comporter des risques de ralentissement du rythme cardiaque et respiratoire. Elle peut ainsi avoir un rôle préventif, la césarienne ne se déroulant alors pas dans l’urgence.

Il est évident que la pose d’une péridurale se fait sur demande de la patiente. Mais quand demander une péridurale ? Il n’y a pas réellement de moment idéal. Doit-elle être posée dès le début du travail ou faut-il attendre que les douleurs deviennent insupportables, dans des conditions d’urgence, sachant que son effet anesthésique n’a lieu que 10 à 15 minutes après l’injection ? Si la mise au monde est proche, l’équipe médicale jugera de l’opportunité d’effectuer une péridurale.

Le recours à cette technique nécessite la présence d’une équipe complète comprenant au minimum, l'obstétricien, la sage-femme et l'anesthésiste lors de l'accouchement. Une récente enquête* révélait les carences de certains établissements en médecins-anesthésistes, liant de fait trop souvent la péridurale à la "disponibilité" d’un trop petit nombre de praticien.

Contre-indications et inconvénients
Comme pour tout acte médical, des contre-indications et des risques d’effets secondaires ou de complications existent, mais ils sont souvent minimisées par l’expérience du médecin-anesthésiste.

Tout d’abord, la péridurale n’est pas efficace dans 100 % des cas. Une même dose d’anesthésique peut donner des effets différents d’une patiente à l’autre.

Chez de rares personnes, l’espace péridural est divisé par une fine membrane. Ainsi, l’injection n’aura d’effet que sur un côté. Il pourra alors être nécessaire de procéder à deux injections.

Une infection cutanée dans la zone à ponctionner telle qu’une plaie négligée, un anthrax, un abcès ou une fièvre supérieure à 38° empêchent le recours à la péridurale.

Les troubles de coagulation peuvent également être à l’origine d’hématomes d’une telle importance qu’ils interdisent également le recours à la péridurale.

De la même manière, les maladies neurologiques doivent faire l’objet d’une étude précise afin de déterminer si elles ne constituent pas des contre-indications.

Des malformations de la colonne (scoliose), des hernies discales ne constituent pas forcément des contre-indications mais elles doivent être signalées, afin qu’un soin particulier soit attaché à l’installation de la femme sur la table de travail et à la pratique de l’acte médical.

Des inconvénients sont également à noter. La péridurale peut entraîner des maux de têtes passagers après l’accouchement ; en particulier si, lors de la manipulation, il y a eu passage du cathéter dans l’espace rachidien.

Si les doses de produits anesthésique sont trop importantes, la péridurale peut entraîner une suppression des sensations. La femme peut donc moins ressentir la nécessité de pousser au moment de l’expulsion. Cette éventualité doit l’inciter à faire des séances de préparation à l’accouchement. En plus de minimiser le " vécu de l’accouchement ", cette absence relative de sensations peut entraîner le recours à un forceps ou une ventouse.

Des maux de dos résiduels sont également cités par quelques femmes ayant eu recours à cette technique, mais ces cas restent rares.

Des complications plus graves : convulsions, arrêts cardiaques ou perte des sensations restent exceptionnels.

Les alternatives à la péridurale sont :

* la rachi-anesthésie, qui est aussi une anesthésie qui insensibilise la moitié inférieure du corps. La piqûre se fait également entre deux vertèbres lombaires, mais l’injection a lieu dans les méninges de la moelle épinière. Bien que plus facile à réaliser et ayant une efficacité plus rapide, cette technique n’est que peu utilisée car elle entraîne plus d’accidents d’hypotension et plus d’inconfort (maux de tête, vertiges…) ;
* l’anesthésie locale, par une injection dans les muscles du périnée, qui permet la réalisation d’opération annexes (épisiotomie, recours aux forceps, etc.) mais n’atténue pas les douleurs des contractions utérines ;
* l’anesthésie totale, qui n’est plus utilisée qu’en cas de contre-indication à la péridurale ou lorsque dans un cas d’urgence une anesthésie doit agir très rapidement. Elle n’est que très peu utilisée, car elle ne permet pas à la femme d’assister à l’accouchement.
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MessageSujet: Re: accouchement sans douleur à la péridurale   accouchement sans douleur à la péridurale Icon_minitimeVen 26 Jan - 23:29

Moi j ai pas e la chance d avoir une peridural mais bon comme ca a pas ete long ca va et puis j ai eu que45 mn de contractions doulouruses.Le travail a commencer un peu avant 9h pour termné a 11h02 et les plus durs ont ete a partir de 10h15 donc voila j ai plus marcher qu autre chose pour oublier....
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MessageSujet: Re: accouchement sans douleur à la péridurale   accouchement sans douleur à la péridurale Icon_minitimeDim 28 Jan - 13:04

j'en ai eu une pour mon fils qui va avoir 8 ans et pas pour ma fille ,resultat meme si j'ai souffert j'ai preferer sans peridurale
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MessageSujet: Re: accouchement sans douleur à la péridurale   accouchement sans douleur à la péridurale Icon_minitimeLun 5 Fév - 13:51

j ai pas de point de comparaison vu que j ai que Manon mais j ai pas si souffert que ca vu le temps reel des contractions et puis elle est passé comme une lettre a la poste j ai pas sentit gd chose elle est sortit d un coup
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MessageSujet: Re: accouchement sans douleur à la péridurale   accouchement sans douleur à la péridurale Icon_minitimeLun 5 Fév - 13:56

ten a eu de la chance lol ,moi a mon fils j'ai hurler jusqua ce queon me fasse la peridural mais a ma fille ,je me suis concentrer pour pas hurler mais je pleurer
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MessageSujet: Re: accouchement sans douleur à la péridurale   accouchement sans douleur à la péridurale Icon_minitime

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